En réponse à :
6 février 2011, par Le Conseil d’Administration de l’AJM
Après l’affaire de Pornic il conviendrait d’expliquer comment travaillent les Juges d’Application des Peines (JAP) et les Services Pénitentiaire d’Insertion et de Probation (SPIP) et comment le coeur de leur métier se trouve détourné par des contraintes budgétaires. Car c’est bien cette écrasante réalité dénoncée, en vain, depuis longtemps qui devrait constituer un scandale politique.
Avant tout, il apparaît essentiel de rappeler qu’au delà de la question des moyens, une prise en charge judiciaire, la (...)